Bienvenue sur le blog de Soif de lire

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11 rue Finkmatt, Strasbourg, 03 88 24 28 70, soifdelire@orange.fr. Heures d'ouverture : mardi, jeudi, vendredi 10h-14h et 16h-19h, mercredi et samedi 10h-19h

mercredi 26 août 2009

Les nouveautés de la semaine




"Trois femmes puissantes" de Marie NDiaye









"Le soupir de l'immortel" d'Antoine Buéno






A découvrir ....

"Paris insolite" : Jean-Paul Clébert a fait de ses vagabondages dans le Paris des années 50 un voyage épique et sensible. Compagnon de Doisneau, clochard, il nous promène au hasard de ses besoins et de ses mille petits boulots ... "Après avoir lu votre livre, j'ai les tripes remuées" disait Henry Miller ....








"Géométrie d'un rêve" de Hubert Haddad






un livre dont "on" parle beaucoup :
"Ce que je sais de Vera Candida" de Véronique Ovaldé
Vera Candida, sa mère, sa grand-mère, sa fille ... Du drame à la sérénité, c'est une histoire de femmes que l'auteure a choisi de situer dans une Amérique Latine baignée de lumière tropicale ... Le style est foisonnant, plaisant, parfois "à la manière de" Gabriel Garcia Marquez.
Chrsitine P. (lectrice pour soif de lire)










"Le cannibale et les termites" de Stéphane Dovert









"Du côté de Castle Rock" de Alice Munro








"Les chiens à fouetter" de François Nourissier (avec en prime un jeu de l'oie)





Lecture vivement conseillée !!!!

"Lait noir" : Elif Shafak aime décidément les histoires de femmes. C'est de son propre questionnement qu'est né ce roman : peut-on concilier deux professions : celle de mère et d'écrivaine ? Six petites créatures -les voix intérieures de l'auteure : deMiss Cynique Intello à Maman gâteau en passant par Miss Ego ambition- vont l'accompagner dans cette reflexion et exposer tout à tour leurs arguments ...








"Le retour de l'auteur" de Vincent Ravalec











"Un coeur intelligent" d'Alain Finkelkraut








"Un pied au paradis" de Ron Rash







....

Et en poche :

Palestine d'Hubert Haddad

Un château en forêt de Norman Mailer

La traversée du Mozamblique par temps calme de Patrice Pluyette

Le roi de Kahel de Tierno Monénembo

Une vie de Simone Weyl

L'état des lieux de Richard Ford

Inglorious bastards de Quentin Tarantino





Pour les enfants :

... beaucoup de livres pour bien appréhender la rentrée ... des ABCédaires, des imagiers, des docs, des contes ...

jeudi 20 août 2009

Nouvelle exposition à partir du 1er septembre







Du 1er septembre au 31 octobre, Corps Etranger présentera "Sculpture sociale".

Corps etranger est né de la rencontre d'un artiste, Damien Bockenmeyer, et d'un architecte, François Nowakowski en mars 2008.

"Sculpture sociale" - intervention urbaine et photographies - 2008 : Un homme vêtu d'un "trois-pièces", occupe l'espace public, dans une position allongée. Cet acte simple, perturbe le quotidien, questionne la coexistence du banal et du singulier, modifie notre perception et notre appréhension des lieux et des liens entre individus.
Le souvenir de l'intervention et des réactions des autres usagers des lieux est immortalisé par l'image.


Pour plus d'informations : www.corpsetranger.com

mardi 18 août 2009

Les nouveautés de la semaine

Coup de coeur !!!!

"Loin des bras" de Metin Arditi : au sein d'une pension suisse pour "gosses de riches", tous les personnages cachent un passé plus ou moins douteux, un secret plus ou moins honteux, une blessure ... Lorsque la pension devra être cédée pour des raisons financières, les (mauvaises) langues vont se délier, les amitiés se déliter et les trahisons seront nombreuses ... Une délectation à lire ....





Coup de coeur !!!!

"Gaza debout face à la mer" de Béatrice Guelpa

Jawdat Khoudary, un homme d’affaires originaire de Gaza qui a fait fortune dans la construction s’est mis en tête de préserver le patrimoine archéologique de sa terre natale. Rêveur et pragmatique, bâtisseur et généreux, il a créé un musée, ouvert depuis l’été 2008. Les journaux du monde entier en ont parlé . À tous les journalistes qui s’étonnaient, Jawdat a fait la même réponse : « Les Israéliens veulent nous réduire au stéréotype du terroriste. Moi, je veux redonner le goût du beau à mes compatriotes, leur insuffler de l’espoir. » Jawdat Khoudary se raconte, et raconte le Proche-Orient dans le même temps, sous l’œil attentif et perspicace de Béatrice Guelpa.





A lire absolument !!!

"La double vie d'Anna Song" de Minh Tran Huy : Anna Song, 'la plus grande pianiste vivante dont personne n'a jamais entendu parler', vient de mourir, laissant derrière elle une oeuvre discographique sans précédent. Paul Desroches, son mari et producteur, lui dresse un tombeau musical et littéraire. A partir d'une histoire vraie qui avait défrayé la chronique de la presse musicale spécialisée, Minh Tran Huy tire un bijou, interrogation à double ou triple fond sur la vérité, l'imposture, la falsification, l'art, le talent.








"Un yanvalou pour Charlie" de Lyonel Trouillot : "Je viens d'un tout petit village. Cela fait partie des choses que j'avais oubliées" : la première phrase donne le "la". Mathurin D. Saint-Fort, avocat haïtien ambitieux et cynique ne pense qu'à sa réussite sociale et financière. Jusqu'au jour où Charlie, un adolescent loqueteux, lui demandera son aide au nom des attachements de jadis, et l'obligera à replonger dans son passé ... Voyage initiatique bouleversant au cœur même de la désespérance, Yanvalou pour Charlie est le grand roman de la tragédie de l'abandon des hommes par les hommes - en Haïti comme ailleurs.






"Terre des affranchis" de Liliana Lazar : dans un village roumain, un bucheron de 100 kilos -le "Boeuf muet"- tue de ses mains à chaque fois qu'il cherche à étreindre. Caché chez sa mère pour échapper à la police, il tente de se racheter une bonne conduite en se faisant moine copiste. Il recouvre des cahiers entiers de textes religieux interdits par Ceausescu, même si cet acte de résistance n'étouffe pas ses pulsions meurtrières.
Le premier roman de Liliana Lazar est un conte politique courant de 1970 à 1989, sur l'insoutenable tranquilité de l'être.






"BW" de Lydie Salvayre










"Le club des incorrigibles optimistes" de Jean-Michel Guenassia
A travers le roman d'adolescence de Michel Marini, 12 ans, amateur de rock et de baby-foot, on découvre le portrait d'une France gaulliste, à peine relevée de la guerre,ignorant ce qui se passe à deux pas de chez elle, que ce soit en Algérie ou dans la Russie stalinienne.











"Ce n'est qu'un début" de Christophe Bouquerel








"Hors champ" de Sylvie Germain











"Guide incendiaire des maisons d'écrivains en Nouvelle Angleterre" de Brock Clarke











"Ordalie" de Cécile Ladjali








"Sepharade" d' Eliette Abecassis









"L'homme qui ne savait pas dire non" de Serge Joncour











Et beaucoup d'ouvrages jeunesse pour bien préparer la rentrée scolaire !!!


Bonne rentrée à toutes et à tous !!!!

mercredi 12 août 2009

C'est la rentrée !!!

Et qui dit rentrée dit beaucoup de nouveautés à venir ....
Des livres, mais aussi des expositions, des concerts, des animations, et des conférences ...


Quelques nouveautés littéraires cette semaine :



"Et que le vaste monde poursuive sa course folle" de Collum McCann.









"Un mal sans remède" d'Antonio Caballero, un chef d'oeuvre de la littérature colombienne salué par Gabriel Garcia Marquez.









Coup de coeur !!!!


"Le monde d'Archibald" d'Anne Brécart : Anne Brécart invite à une méditation sur le temps et la mort. C'est en Suisse protestante que nous emmène ce roman sobre et dense. Ici, les gens s'appuient volontiers sur le silence : « Ne pas trop en dire, agir au lieu de parler. » Dans la maison de famille qu'il a pu racheter, un vieillard savoure sa retraite en compagnie de son épouse fragile. Aux vacances, Archibald reçoit ses enfants, petits-enfants et neveux. Il leur impose les règles habituelles des séjours familiaux, dont la principale est de ne pas le déranger. Plus précisément, de ne pas déranger l'ordre qu'il entend faire régner dans son monde.








"Rire, Mémoire, Shoah" - un ouvrage collectif très instructif ... "Quelle place peut occuper le rire dans une œuvre de création sur la Shoah ? La transmission de sa mémoire par l’humour est-elle envisageable ?... Il résonne dans les œuvres de Kertész, Hilsenrath, et d'autres renouant avec une tradition littéraire qui en faisait une arme contre l’ignominie ; il s’affiche, plus problématique encore, quand le cinéma ou la BD s’en mêlent. Un « rire réconcilié », mais traversé par la catastrophe, qu’interrogent les chercheurs, écrivains, cinéastes et dessinateurs rassemblés ici.